Didier Louis

Gagnant à 2 ans, pour débuter, il signera huit autres succès, de 3 à 5 ans, dont sept à Vincennes, notamment dans le Groupe III Prix Constant Hervieu ; un cheval de classe, tenace, qui n’était pas facile à faire plier, à l’image de son père, le crack Jag de Bellouet. A noter que sa grand-mère est une propre soeur du champion Rainbow Runner, étalon améliorateur, trop tôt disparu ; quant à ses pères de mères, ils sont hors pair : Blue Dream, Fakir du Vivier, Caprior…

Une pléiade d’inbreedings des plus intéressants, sur Sabi Pas (4×4) et Ua Uka (5×4), sur Nevele Pride (6×4), sur Fandango (6x5x4), sur Carioca II (5x6x5x6x5)… Ses débuts au haras sont excellents : 64 % de qualifiés, au sein des « E », sa première production, parmi lesquels une dizaine de sujets ont entre 40.000 et 125.000 euros de gains, dont une pouliche de Groupe, Elana Sport ; il n’y a pas de « F », car le cheval n’a pas fait la monte cette annéelà, mais ils sont déjà 28 % de qualifiés dans les rangs des « G » (au 20/11/18).